Sur le chemin, il y a des petits riens, des grands beaucoup, des grands riens et des petits beaucoup.
Dispositif artistique de rencontres, Sur le chemin... la nuit explore le paysage nocturne féminin et en confronte les points de vue. Après plusieurs mois de collectage de paroles et d’images avec des jeunes femmes des villes de Saint-Ouen, Saint-Denis et Aubervilliers, une installation plastique, vidéo, sonore et interactive fera lien entre les trois villes. Les participantes interviendront au cours de lectures nocturnes du Petit Eloge de la nuit d’Ingrid Astier (Gallimard), performances théâtrales et musicales créées in situ.
Le 27 octobre à 19h et 20h
Impasse Simon – Marché Paul Bert, Saint-Ouen
Métro Porte de Clignancourt (Ligne 4 / T3b)
Le 28 octobre à 19h et 20h
Jardin Ilôt 2 du Campus Condorcet - 9 rue des Fillettes, Aubervilliers
Métro Front Populaire (Ligne 12)
Le 29 octobre à 19h et 20h
Pixel Avenue – 6 avenue du Stade de Francen Saint-Denis
RER Stade de France (RER B)
Gratuit / Durée : 20 min
Pour accéder au plan du parcours, cliquez ici
Production : Collectif l’art au quotidien
Coproduction : Art’R – Saison et lieu de fabrique itinérant pour les arts de la rue à Paris et en Île-de-France
Avec le soutien de : Ministère chargé de la Ville / Région Île-de-France / Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis / Plaine Commune / Ville de Saint-Ouen-sur-Seine / Ville de Saint-Denis / Ville d’Aubervilliers / Périféeries 2028 – Capitale européenne de la culture / Fonds SACD – Musique de scène
Sur le chemin... la nuit est le troisième laboratoire de notre résidence test dédiée à l'urbain "Et si la ville était douce la nuit ?"
· En juin, le collectif La Folie Kilomètre avait investi le parvis de la gare de Saint-Denis pour ouvrir des discussions autour de la nuit avec les habitant·e·s et passant·e·s.
· En juillet, Les Souffleurs, commando poétique, ont organisé des berceuses inversées dans les rues de Saint-Denis et Tremblay-en-France ; les enfants ont couché les adultes en chantant sous leurs fenêtres La nuit de Michel Jonasz.
